Nous vous présentons un blog crée pour parler de toutes les formes de racisme qui nous révolte. Si vous le souhaitez,Nous pouvons également parler des injustices qui vous touches, celle que vous ne supportez pas.
Bonjour, Bonsoir !!!
Lutte Contre le Racisme
Nous sommes Ahlem et Azza et Nous avons crées ce blog pour vous faire part de tout ce qui Nous révoltons, tout ce qui parait injuste.
Tout au long de notre vie, nous devons faire face à diverse chose inacceptable aussi bien en vers les humains qu'envers les animaux (racisme, violence, corridas etc...).
Pour chaque article publié, n'hésitez pas à me donner votre avis qui me semble très important! Chaque opinion est respectée! =)
Le terme "handicapés" est employé envers les personnes ayant unedéficience physique, mentale ou sensorielle, qu'elle soit de nature permanente ou temporaire, qui limite la capacité d'exercer une ou plusieurs activités essentielles de la vie quotidienne.
Les personnes handicapés peuvent rencontrer des frustrations, des sentiments de rejet, d'isolement, d'incompréhension.
À cause de leur handicap, elles sont parfois privées d'éducation, de travail, de loisir et subissent une forme d'exclusion social.
Les personnes qui ont des problèmes de mobilité sont exclues de certains lieux inaccessible pour elles et rencontre de grande difficultés pour trouver un logement adapté à leurs handicap.
Tunisie : Quand les personnes handicapées essayent de se faire
entendre
Parce que les
personnes handicapées ne sont pas prises en considération en Tunisie, l’Organisation
Tunisienne de Défense des Droits des Personnes Handicapées a décidé d’en
être le porte-parole.
MON AVIS :
Ça n'est pas parce qu'une personne est ou devient handicapé qu'elle est différente de nous. Ces personne ne devraient pas être rejeté mais au contraire être aidé par autrui. Les gens qui ose les critiquer n'on aucun sens du respect !
VOTRE AVIS :
Avez-vous des connaissances ou de la famille étant handicapé? Que pensez-vous des gens qui dénigre les personnes handicapés?
La discrimination envers les pauvres reste impunie:
La notion de discrimination a permis de qualifier dans la sphère morale et juridique les stéréotypes et les préjugés qui ont des conséquences graves de refus de biens ou de services. Mais pour les pauvres, il semble que nos sociétés aient du mal à se rendre à l'évidence, tant les préjugés sont ancrés. Les mots racisme, xénophobie, sexisme ou homophobie condamnent dans le langage de tous les jours des comportements néfastes. Et la loi les interdit. En ce qui concerne le rejet des plus démunis, il n'existe a pas de mot; nous sommes dans le non-dit ou dans l'euphémisme. Aussi on ne dira pas qu'on les rejette parce qu'ils sont pauvres, mais parce qu'ils sont fainéants, sans volonté, délinquants ou non coopératifs. La Cour européenne des droits de l'homme reconnaît pourtant la discrimination pour origine sociale, mais la France reste muette.
Riches et pauvres n'entrent pas par la même porte
ETATS-UNIS
—
Une société immobilière a obtenu le droit de concevoir des entrées séparées pour les riches et les pauvres pour une copropriété de luxe à New York. L'autorisation suscite la controverse.
La pratique est controversée. Le président de l'arrondissement de Manhattan a promis qu'il mettrait son veto à d'autres projets du même style «qui favorisent la discrimination entre Américains». Pourtant, de tels immeubles devraient continuer de voir le jour. En effet, plusieurs autres gros projets immobiliers prévoient également des entrées séparées.
Il faut dire que la loi américaine en la matière autorise les promoteurs à construire de grandes résidences de luxe pour autant qu'ils y prévoient des logements sociaux. Mais la loi n'interdit pas des immeubles aux entrées séparées qui permettent ainsi de ne pas mélanger torchons et serviettes...
MON AVIS :
Je trouve ça inadmissible de voir ce genre de chose. Nous n'avons aucun droit de juger une personne selon leur situation sociale. Nous sommes tous égaux!
VOTRE AVIS :
Que pensez-vous du racisme? Avez-vous déjà été témoin ou victime de propos raciste?
De plus en
plus ouvertement, le racisme envahit l'espace politique. Je ne veux pas ici évoquer le Front
national mais bien une
partie de la droite parlementaire et, à un moindre niveau, une partie de la gauche.De plus en
plus ouvertement, le racisme envahit l'espace politique. Je ne veux pas ici évoquer le Front
national mais bien une
partie de la droite parlementaire et, à un moindre niveau, une partie de la gauche.
Les partis politiques en Tunisie
Le débat dans le milieu politique ne s'arrête plus, partis islamiques, partis gauches et partis droites...
Racisme en Tunisie: Je ne m'appelle ni kahla, ni guiraguira, ni woussif, ni abid...
A défaut de réussir à faire passer dans la Constitution une loi condamnant le racisme, les Noirs de Tunisie se sont levés comme une seule personne, afin de combattre la discrimination et l’image dégradante que l'on a des Noirs en Tunisie.
La "Marche de l'égalité et contre le racisme anti-noirs", partie de Djerba (le 18 mars), Gabès (19 mars), Sfax (20 mars) a finalement atteint Tunis la capitale le vendredi 21 mars 2014. Pour la circonstance, hommes, femmes, jeunes et moins jeunes issus de toutes les couches socio-professionnelles ont marché dans les rues de la capitale et scandé des slogans anti-racistes. L'objectif des organisateurs est clair comme l'eau de roche: aspirer à une justice sociale véritable qui bannit la ségrégation, l’exclusion et les discriminations, et réitérer l'appel à toutes les composantes de la société civile attachées aux droits, aux libertés et à l’égalité.
L'objectif de la "Marche de l'égalité et contre le racisme anti-noirs" vise aussi à l’éradication de toutes sortes de ségrégation, et son bannissement de l’espace public, à commencer par les médias et les espaces. Bien sûr, l'on trouvera toujours des Tunisiens "blancs", et ils sont nombreux, qui tenteront de vous convaincre qu'il n'y a pas de racisme en Tunisie. Mais il suffit de tendre le micro à ces Tunisiens noirs pour réaliser à quel point, ils sont quotidiennement blessés jusqu’au tréfonds de leur âme.
Le racisme dans le sport n'est pas un phénomène nouveau mais s'expose de plus en plus au grand jour.
CAN-2015 : agressions anti-Noirs en Tunisie après l'élimination des Aigles ?
Une association tunisienne rapporte au moins "une dizaine d'agressions" ciblant la communauté subsaharienne en Tunisie, après que le pays a été éliminé de la CAN-2015, samedi, par la Guinée équatoriale. Une éviction qui a crée une vive polémique.
Les répercussions de l'élimination polémique de la Tunisie par la Guinée équatoriale, en quart de finale de la CAN-2015, sont de plus en plus inquiétantes. Mardi 3 février, l'Association des étudiants et stagiaires africains en Tunisie (AESAT) a rapporté une "dizaine d'agressions" ayant visé la communauté subsaharienne après l'élimination de la Tunisie de la Coupe d'Afrique des nations, soulignant que ces attaques racistes n'étaient "pas isolées".
Stop Racisme dans le Sport
Le football est un modèle ethnoculturel pour notre société, préservons le de ce fléau qu’est le racisme
La haine dans le football, ça suffit. Alors que le sport le plus populaire au Monde est gangrené par le racisme, nous appelons à combattre sans relâche toute forme de discrimination. On ne doit plus entendre sur nos terrains et dans nos tribunes des propos appelant au rejet de l’autre. La place du football dans notre société doit lui permettre de montrer un exemple de partage et d’ouverture d’esprit.
Une équipe, ce sont onze joueurs solidaires avec un but commun, qui doivent aller au-delà de pseudos différences. Le sport a pour vertu de mélanger des personnes qui ne se côtoient pas au quotidien. Cette force, il ne faut pas la perdre en restant immobile face au racisme. Se taire, c’est accepter implicitement. Pour que nos stades restent des lieux de fêtes, de joie et de convivialité, combattons les discriminations avant que la peur n’ait gagné le combat.
L’hostilité systématique à l’égard de l’islam est très anciennement ancrée dans la pensée occidentale. D’essence chrétienne, elle prend sa source dans l’esprit de croisade, fleurit pendant l’expansion coloniale et, après un temps de latence, reprend vigueur avec la «guerre contre le terrorisme». Le mot «islamophobie» qui l’illustre a, quant à lui, une centaine d’années. Si désormais, au nom de la défense de la laïcité, certains intellectuels français très médiatiques ne craignent pas d’assumer la bêtise haineuse qu’il recouvre, d’autres, heureusement, s’emploient à la dénoncer.
Pour nous, l'islamophobie, ce ne sont pas seulement des actes de
discrimination, mais un phénomène social global, qui consiste à réduire
"l'autre" à son appartenance religieuse présumée ou réelle. Elle
repose donc à la fois sur une idéologie, des préjugés et des actes. En cela,
elle va au-delà d'un simple racisme, mais découle d'un "problème
musulman", construit, de manière non concertée, par différents acteurs.
A l'heure actuelle, il faut
distinguer plusieurs logiques, opérant de manière séparée ou cumulative :
anti-religion, lutte contre l'islamisme (religion dangereuse), anti-sexisme
(religion opprimant les femmes), racisme de classe (religion du pauvre) ou un
racisme tout court (religion de l'étranger). Mais au final,...
Une femme en Inde n’est une femme digne de ce nom que si elle donne le jour à un fils. Si c’est une fille, elle peut être renvoyée par son mari et sa belle famille, être battue, voire tuée. Les médecins font donc des avortements de fœtus filles en pensant rendre service aux femmes. La pression sociale et familiale est si forte qu’elles-mêmes ont honte d’accoucher d’une fille => cas réguliers de vols de bébés garçons dans les maternités, par des femmes qui y laissent la petite fille qu’elles viennent de mettre au monde.
Ouganda : les fillettes ne sont à l’abri nulle part
En Ouganda, les viols de mineures sont très fréquents : une étude financée par la Banque mondiale en 2008 a indiqué qu’environ une sur 25 filles âgées entre 12 et 17 ans a été sexuellement agressée par ses enseignants. Malgré des lois en vigueur, la corruption fait rage ; aussi, l’attitude des parents, qui négocient avec les agresseurs, contribuent au maintien des abus sexuels.
Dans les couples de salariés, la répartition du travail domestique reste inégale:
En France, même dans les couples où les deux conjoints travaillent à temps complet, la répartition des tâches est loin d’être égalitaire. Dans les couples de salariés, la part des tâches domestiques accomplies par les hommes est toutefois sensible à l’écart entre leur salaire et celui de leur conjointe. Excision des filles très dangereuses forme de violence
L'excision, le cauchemar des Africaines
La pratique de l'excision est en baisse en Afrique, mais n'a pas disparu. Synonyme de souffrance, elle plonge dans la détresse de nombreuses femmes.
La violence contre la femme est une forme de racisme.
En Tunisie: 50% des femmes victimes de violence
La
femme est subie à toutes les formes de violence: violence conjugale, viol, harcèlement, sexisme...
La femme souffre de la violence dans le milieu de travail, dans les bus, dans la rue et même dans l'école ou l'université.
Violence domestique, violences sexuelles, incestes, assassinats de femmes au nom du code de l’honneur : la violence contre les femmes dans les territoires palestiniens est largement répandue même si les données chiffrées manquent sur le sujet, selon un rapport de Human Rights Watch.
Les derniers chiffres de l'Insee, publiés vendredi 22 novembre, montrent que sur deux ans (2010-2011), 1,2 million de femmes de 18 à 75 ans ont subi des violences physiques ou sexuelles, soit 5,5 % de cette tranche d'âge.
En moyenne, ces dernières années, 220 000 femmes ont été victimes annuellement de violences conjugales, mais moins d'une sur trois s'est déplacée à la police ou à la gendarmerie.
Selon une étude du ministère de l'intérieur, 148 femmes sont mortes en 2012 victimes de leur conjoint ou ex-conjoint, soit en moyenne une tous les 2,5 jours.
La violence contre les femmes, souvent sous-estimée, est rarement punie
Les femmes et les fillettes subissent des violences de façon disproportionnée, en temps de paix comme en temps de guerre. Ces actes peuvent être le fait de l’État, du groupe social ou de la famille.